Le contre-ténor Philippe Jaroussky dans un passage célèbre du Requiem de Fauré, écrit à l'origine pour une voix d'enfant. Aujourd'hui, on ne parle plus que rarement de haute-contre pour qualifier cette voix.
La musique baroque était particulièrement friande des voix de castrats. Celles-ci ont été ensuite remplacées soit par ce qu'on appelait des haute-contres, aujourd'hui contre-ténors, soit par des voix de femmes.
Le contre-ténor Andreas Scholl chante Haendel.
Alessandro Moreschi (1858-1922), le dernier castrat et le seul dont on dispose de quelques enregistrements. Le son est épouvantable, la voix n'est pas extraordinaire non plus...